1. Introduction
Les vaccins contre le virus Covid-19 sont disponibles et administrés en
Europe et partout dans le monde depuis plus d'un an maintenant. Conformément à
sa volonté de transparence maximale (la plupart des informations sont
disponibles dans 24 langues européennes), l'Agence Européenne du Médicament (AEM)
a fait un travail louable en mettant à disposition toutes les informations
relatives aux vaccins Covid-19 sur son site web. Pour tous les vaccins Covid-19
autorisés (Pfizer, Moderna, Astra Zeneca, Janssen et Novavax), elle offre des
informations vitales telles que les détails de l'autorisation, les informations
sur le produit, l'historique des évaluations, avec des mises à jour régulières
de sécurité et une section FAQ (Foire Aux Questions). Cette information exhaustive
devrait être critique et vitale non seulement pour les experts médicaux et les
gouvernements des États membres de l'Union Européenne, mais aussi et surtout
pour la population générale, vaccinée ou non, afin de faire des choix éclairés/judicieux. Puisque l'on peut supposer
que la majeure partie de la population européenne est éduquée, rationnelle et
responsable, il est certain qu'elle a déjà eu accès à ces informations via ce
site web, par l'intermédiaire de ses gouvernements nationaux et/ou des média.
Et pourtant, je voudrais vous inviter à jeter un coup d'œil rapide sur certains
détails concernant ces vaccins, référencés sur le site web de l’AEM.
Voici le lien vers la section « vaccins Covid-19 » du site de l'AEM [1].
1.1 Les vaccins COVID-19 dans
l’Union Européenne
1.1.1. Actuellement en cours d'examen
Sputnik V, Gam-COVID-Vac (Gamaleya Institute), COVID-19 Vaccine (Vero Cell) Inactivated (Sinovac), Vidprevtyn (Sanofi Pasteur), VLA2001 (Valneva)
1.1.2 Demande d'autorisation de mise sur le marché déposée
Aucune candidature actuellement en cours d'évaluation.
1.1.3 Autorisé pour une utilisation dans l'Union Européenne
2.
Comirnaty (Pfizer)
2.1 Informations sur le produit
Comirnaty est un vaccin qui a été autorisé dans l'UE le 21 décembre 2020 pour empêcher le
COVID-19 en cas d'infection par le coronavirus SARS-CoV2. Le document
d'information sur le produit référencé [2] a été publié pour la première fois le 12/01/2021 et a été mis à jour pour la
dernière fois le 20/01/2022.
Afin de confirmer l'efficacité et l'innocuité de Comirnaty, le titulaire de l'autorisation de mise sur le marché (Pfizer) devra soumettre le rapport d'étude clinique final pour l'étude C4591007 randomisée, contrôlée par placebo et à l'insu des observateurs d'ici juillet 2024.
2.2 FAQs (Foire aux questions)
2.2.1 Comment fonctionne
Comirnaty ?
Comirnaty agit en préparant le corps à se défendre contre le COVID-19. Il contient une molécule appelée ARNm qui contient des instructions pour fabriquer la protéine de pointe. Il s'agit d'une protéine à la surface du virus SARS-CoV-2 dont le virus a besoin pour pénétrer dans les cellules du corps [3].
Lorsqu'une personne reçoit le vaccin, certaines de ses cellules lisent les instructions d'ARNm et produisent temporairement la protéine de pointe. Le système immunitaire de la personne reconnaîtra alors cette protéine comme étrangère et produira des anticorps et activera les cellules T (globules blancs) pour l'attaquer.
Si, plus tard, la personne entre en contact avec le virus SARS-CoV-2, son système immunitaire le reconnaîtra et sera prêt à défendre le corps contre lui.
L'ARNm du vaccin ne reste pas dans l'organisme mais est dégradé peu de temps après la vaccination.
- Contrairement à ce qui est affirmé ci-dessus, plusieurs rapports ont désormais clairement indiqué que les personnes vaccinées ne pouvaient pas se défendre contre l'infection par le Delta, l'Omicron et d'autres variantes [4] [5] [6] [7].
2.2.2 Comirnaty peut-il réduire la transmission du virus d'une personne à une autre ?
L'impact de la vaccination
avec Comirnaty sur la propagation du virus SARS-CoV-2 dans la communauté n'est pas encore connu [3]. On ne sait pas encore à quel point
les personnes vaccinées peuvent toujours être capables de porter et de propager
le virus.
- Cependant, le ministre français de la Santé, Olivier Véran, dans une déclaration du 14 janvier 2021, a affirmé qu'il y avait « de bonnes raisons d'espérer » que le vaccin interdise la transmission du virus [8]. De plus, le mercredi 28 juillet 2021, le ministre de l'Éducation nationale Jean-Michel Blanquer a déclaré sur France Info que ceux qui se font vacciner ne transmettent pas le virus aux autres [9]! En revanche, jusqu'à cette date, la notice du produit Pfizer ne fait aucune affirmation de ce type.
2.2.3 Les personnes qui ont déjà eu le COVID-19 peuvent-elles être vaccinées avec Comirnaty ?
Il n'y avait pas suffisamment de données de l'essai pour conclure sur l'efficacité de Comirnaty pour les personnes qui ont déjà eu le COVID-19 [3].
- Et
pourtant, la Direction Générale de la Santé (DGS) en France, le 12 janvier
2022, a déclaré que la dose de rappel est obligatoire pour tous ceux qui ont 18
ans et plus et qui ont déjà eu leurs 2
doses de vaccin ET la maladie :
« avoir eu ou pas le Covid-19 après la deuxième dose ne change absolument
rien à la nécessité d’une dose de rappel. » [10]. Il est intéressant de se demander pourquoi
Pfizer reste évasif à ce sujet dans sa notice, alors que des instances telles
que la DGS donnent des assurances et des directives avec autorité.
2.2.4 Autorisation de mise sur le marché sous conditions
Ce médicament a reçu une autorisation
de mise sur le marché sous conditions. Cela a été accordé dans l'intérêt de la
santé publique parce que le médicament répondait à un besoin médical non
satisfait, et que le bénéfice d'une disponibilité immédiate l'emportait sur le
risque lié à des données moins complètes que celles normalement requises. Les données disponibles doivent indiquer
que les bénéfices du médicament l'emportent sur ses risques et le demandeur
doit être en mesure de fournir les données cliniques complètes à l'avenir [3].
Comirnaty ayant reçu une
autorisation conditionnelle, la société
qui commercialise Comirnaty continuera à fournir les résultats de l'essai
principal chez l'adulte, qui est en cours depuis 2 ans, ainsi que des essais
chez l'enfant. Cet essai et des études supplémentaires fourniront des informations sur la durée de la
protection, la capacité du vaccin à prévenir les cas graves de COVID-19, sa
capacité à protéger les personnes immunodéprimées, les femmes enceintes et s'il
prévient les cas asymptomatiques.
Comirnaty a obtenu une autorisation conditionnelle de mise sur le marché. Cela signifie qu'il y a davantage de preuves à venir sur le vaccin, et que l'entreprise est tenue de les fournir. L'Agence examinera toute nouvelle information disponible et cet aperçu sera mis à jour si nécessaire.
En outre, des études indépendantes sur les vaccins COVID-19 coordonnées par les autorités de l'UE fourniront également plus d'informations sur l'innocuité et les avantages à long terme du vaccin dans la population générale.
Le fabricant mènera
également des études pour fournir une assurance supplémentaire sur la qualité
pharmaceutique du vaccin alors que la fabrication continue d’augmenter.
2.3 Informations/données/essais manquants
2.3.1 L’interchangeabilité
L’interchangeabilité de
Comirnaty avec les vaccins contre la
COVID-19 des autres fabricants afin de compléter le schéma de
primo-vaccination ou pour la dose de rappel (troisième dose) n’a pas été établie.
L’administration concomitante de Comirnaty avec d’autres vaccins n’a pas été étudiée.
- Étrangement, ignorant ce détail essentiel concernant l'interchangeabilité des vaccins Covid-19, pour la dose de rappel, le « Conseil d'Orientation de la Stratégie Vaccinale » et la « Haute Autorité de Santé (HAS) » ont donné un avis sans équivoque [11] [12] [13] [14].
- De plus, le gouvernement français a déclaré qu'il était possible de prendre à la fois le vaccin annuel contre la grippe et le vaccin contre le Covid-19 le même jour [15] [16] [17].
2.3.2 Interactions avec d’autres
médicaments et autres formes d’interactions
Aucune étude d’interaction n’a été réalisée.
- Pourtant, la position officielle du gouvernement français a toujours été de vacciner en priorité les personnes âgées ou présentant une comorbidité [18] [19]. Et ce sont les personnes âgées ou vulnérables qui prennent généralement certains médicaments pour soigner leurs comorbidités.
2.3.3 Fertilité, grossesse et allaitement
2.3.3.1 Fertilité
Les études effectuées chez l’animal n’ont pas mis en évidence d’effets
délétères directs ou indirects sur la reproduction.
- Sachant que l’étude de la fertilité d’une espèce se conduit sur plusieurs générations, il est évident que les données ne seront pas disponibles de sitôt ; et qu’il est donc très risqué de se lancer dans la vaccination de masse.
2.3.3.2 Grossesse
Il existe des données limitées sur l’utilisation de Comirnaty chez la femme enceinte. Les études effectuées chez l’animal n’ont pas mis en évidence d’effets délétères directs ou indirects sur la gestation, le développement embryonnaire/fœtal, la mise bas ou le développement postnatal. L’utilisation de Comirnaty chez la femme enceinte doit être envisagée seulement si les bénéfices potentiels l’emportent sur les risques potentiels pour la mère et le foetus.
- Considérons maintenant la vaccination très médiatisée et télévisée le 27 juillet 2021 par le ministre français de la Santé, Olivier Véran, de sa collègue enceinte, Olivia Grégoire, secrétaire d'État à Bercy [20]. Les justifications invoquées par eux derrière leur décision étaient qu'il n'y avait aucun lien entre vaccination et fausse-couche, que les « recommandations » de prudence avaient évolué, et qu'il était sans danger de vacciner les femmes enceintes, quelle que soit le stade de la grossesse et enfin, a été mis en avant le fait que des centaines de femmes enceintes dans certains pays étaient vaccinées.
Étrangement, aucune de ces assurances ou précisions n'apparaît (jusqu'à cette date) dans la notice d'information de Pfizer. S'agissait-il alors d'un battage médiatique et d'un exercice délibéré destiné à tromper la population française ?
2.3.3.3 Allaitement
On ne sait pas si Comirnaty est excrété dans le lait maternel.
- En
attendant, plusieurs études émergentes ont apaisé les appréhensions d'effets
secondaires des vaccins sur les mères allaitantes et leurs bébés [21] [22] [23] [24] et ont tenté de
rassurer les citoyens. Il est cependant assez surprenant que Pfizer soit
(jusqu'à cette date) incapable de donner une assurance par des tests cliniques
de son propre produit à la « Food and Drug Administration » (FDA) /
Agence Européenne du Médicament (AEM), mais que des instituts médicaux
extérieurs confirment sa fiabilité et que ce soit accepté comme une preuve par
les gouvernements pour promouvoir la vaccination !
2.3.4 Durée de protection
La durée de protection conférée par le vaccin n’est pas établie et est toujours en cours d’évaluation dans les essais cliniques. Il est recommandé d’administrer la seconde dose 3 semaines après la première dose. Une dose de rappel (troisième dose) de Comirnaty peut être administrée par voie intramusculaire au moins 6 mois après la deuxième dose chez les personnes âgées de 18 ans et plus. La décision quant au délai d’administration d’une troisième dose de Comirnaty et quant aux personnes concernées par cette troisième dose devra être prise sur la base des données disponibles d’efficacité du vaccin, en tenant compte des données de sécurité limitées. Une troisième dose peut être administrée au moins 28 jours après la deuxième dose chez les personnes sévèrement immunodéprimées.
2.4 Effets indésirables
- Hypersensibilité et anaphylaxie
Des cas d’anaphylaxie (l'anaphylaxie est une réaction allergique grave qui
survient rapidement et peut entraîner la mort) ont été rapportés. Il convient
de toujours disposer d’un traitement médical approprié et de surveiller le
sujet vacciné en cas de survenue d’une réaction anaphylactique suite à
l’administration du vaccin.
- Myocardite et péricardite
Il existe un risque accru de myocardite et de péricardite après vaccination par Comirnaty : la myocardite est une inflammation du muscle cardiaque (myocarde) qui peut réduire la capacité du cœur à pomper et provoquer des rythmes cardiaques rapides ou irréguliers (arythmies) ; et la péricardite est un gonflement et une irritation du tissu mince en forme de sac entourant le cœur (péricarde), qui provoque souvent une douleur thoracique aiguë et parfois d'autres symptômes. Ces pathologies peuvent se développer en l’espace de quelques jours seulement après la vaccination, et sont survenues principalement dans les 14 jours. Elles ont été observées plus souvent après la seconde vaccination, et plus souvent chez des hommes jeunes. Le risque de myocardite après une troisième dose de Comirnaty n’a pas encore été caractérisé.
- Réactions liées à l’anxiété
Des réactions liées à l’anxiété, dont des réactions vasovagales (syncope), une hyperventilation ou des réactions liées au stress (sensation vertigineuse, palpitations, augmentation de la fréquence cardiaque, modifications de la pression artérielle, paresthésie, hypoesthésie et transpiration, par exemple) peuvent survenir lors l’acte vaccinal.
- Thrombopénie et troubles de la coagulation
Comme pour les autres injections intramusculaires, le vaccin devra être
administré avec prudence chez les personnes recevant un traitement
anticoagulant ou présentant une thrombopénie ou tout autre trouble de la
coagulation (hémophilie, par exemple) car un saignement ou une ecchymose peut
survenir après administration intramusculaire chez ces personnes.
2.5 Morts
Au 2 janvier 2022, EudraVigilance contenait:
- pour Comirnaty : un total de 522 530 cas d'effets indésirables suspectés signalés spontanément par les pays de l'UE/EEA; 6 490 d'entre eux ont signalé une issue fatale (à la même date, environ 545 millions de doses de Comirnaty avaient été administrées à des personnes dans l'UE/EEA) [25].
- Bien
qu'elle reconnaisse officiellement que le vaccin Covid-19 a causé 6 490 victimes
au 2 janvier 2022, l'AEM tente si innocemment d'exonérer les vaccins Covid-19
en détournant l'attention sur des problèmes de santé non liés à la vaccination
! Cela est à la fois très incohérent, choquant et d’une mauvaise fois car il
existe de nombreuses lacunes et insuffisances (auto-admises par les fabricants
de vaccins) dans ces vaccins Covid-19.
3.
Vaxzevria (Astra Zeneca)
3.1 Informations sur le produit
Vaxzevria a reçu une «autorisation conditionnelle» valable dans toute l'UE
le 29 janvier 2021. Le document
d'information sur le produit a été publié pour la première fois le 18/02/2021 et a été mis à jour pour la
dernière fois le 18/01/2022 [26].
Afin de s'assurer que tous les
événements thrombotiques signalés avec thrombocytopénie et/ou événements
hémorragiques sont étudiés en effectuant une exploration approfondie de la
fonction plaquettaire dans l'étude interventionnelle chez les sujets immunodéprimés,
le titulaire de l'autorisation de mise sur le marché doit soumettre le rapport
d'étude clinique, conformément à un protocole d'étude révisé et accepté d'ici
le 30 novembre 2023.
Afin de confirmer l'efficacité et la
sécurité de Vaxzevria chez les personnes âgées et les sujets atteints d'une
maladie chronique, le titulaire de l'autorisation de mise sur le marché doit
soumettre l'aperçu et les résumés du rapport d'étude clinique final pour
l'étude D8110C00001 avant le 31 mars
2024.
3.2 FAQs (Foire aux questions)
3.2.1 Comment fonctionne Vaxzevria
?
Ce produit contient des organismes génétiquement modifiés (OGM).
Vaxzevria agit en préparant le corps à se défendre contre le COVID-19. Il est composé d'un autre virus (adénovirus) qui a été modifié pour contenir le gène permettant de fabriquer la protéine de pointe du SARS-CoV-2. Il s'agit d'une protéine à la surface du virus SARS-CoV-2 dont le virus a besoin pour pénétrer dans les cellules du corps [27].
Une fois administré, le vaccin délivre le gène du SARS-CoV-2 dans les cellules du corps. Les cellules utiliseront le gène pour produire la protéine de pointe. Le système immunitaire de la personne reconnaîtra alors cette protéine comme étrangère et produira des anticorps et activera les lymphocytes T (globules blancs) pour l'attaquer.
Si, plus tard, la personne entre en contact avec le virus SARS-CoV-2, son système immunitaire le reconnaîtra et sera prêt à défendre le corps contre lui.
L'adénovirus contenu dans
le vaccin ne peut pas se reproduire et ne provoque pas de maladie.
3.2.2 Vaxzevria peut-il réduire la transmission du virus d'une personne à une autre ?
L'impact de la vaccination avec Vaxzevria sur la propagation du virus
SARS-CoV-2 dans la communauté n'est pas
encore connu. On ne sait pas encore si
les personnes vaccinées peuvent toujours être capables de porter et de propager
le virus [27].
3.2.3 Les personnes qui ont déjà eu le COVID-19 peuvent-elles être vaccinées avec Vaxzevria?
Il n'y a eu aucun effet secondaire supplémentaire chez les 345 personnes
qui ont reçu Vaxzevria dans le cadre de l'essai et qui avaient déjà eu le
COVID-19.
Il n'y avait pas
suffisamment de données de l'essai pour conclure sur l'efficacité de Vaxzevria
pour les personnes qui ont déjà eu le COVID-19 [27].
3.2.4 Autorisation de mise sur le marché sous conditions
Vaxzevria a reçu
une autorisation conditionnelle de mise sur le marché valable dans toute l'UE
le 29 janvier 2021.
3.3 Informations/données/essais
manquants
3.3.1 L’interchangeabilité
Il n’existe aucune donnée sur l'interchangeabilité de Vaxzevria avec d'autres vaccins COVID-19 pour compléter le schéma de vaccination.
L’administration concomitante de Vaxzevria avec d’autres vaccins n’a pas
été étudiée.
3.3.2 Interactions avec d’autres
médicaments et autres formes d’interactions
Aucune étude d'interaction n'a été réalisée.
3.3.3 Fertilité, grossesse et
allaitement
3.3.3.1 Fertilité
Les études chez l’animal n’indiquent pas d’effets délétères directs ou
indirects sur la fertilité.
3.3.3.2 Grossesse
L’expérience est limitée sur l’utilisation de Vaxzevria chez les femmes enceintes. Les études chez l’animal n’indiquent pas d’effets délétères directs ou indirects sur la grossesse, le développement de l’embryon et du foetus, la mise-bas ou le développement post-natal. L’administration de Vaxzevria au cours de la grossesse doit être envisagée seulement si les bénéfices potentiels l’emportent sur les risques potentiels pour la mère et le foetus.
3.3.3.3 Allaitement
Le passage de Vaxzevria dans le lait maternel n’est pas connu.
Dans les études chez l’animal, un passage des anticorps anti-SARS-CoV-2 S par le lait maternel a été observé de la souris allaitante aux petits allaités.
3.3.4 Durée de protection
La durée de protection conférée par le vaccin n’est pas établie et est toujours en cours d’évaluation dans les essais cliniques.
3.4 Effets indésirables
Troubles de la coagulation
- Syndrome thrombotique thrombocytopénique
- Thromboses
des veines et des sinus cérébrovasculaires
- Thrombocytopénie
Syndrome de fuite capillaire
Evènements neurologiques
De très rares cas de syndrome de Guillain-Barré (SGB) ont été rapportés dans les suites d’une vaccination par Vaxzevria.
3.5 Morts
Au 2 janvier 2022,
EudraVigilance contenait:
- pour Vaxzevria : un total de 231 363 cas d'effets indésirables suspectés signalés spontanément par les pays de l'UE/EEA ; 1378 d'entre eux ont eu une issue fatale (à la même date, environ 69 millions de doses de Vaxzevria avaient été administrées à des personnes dans l'UE/EEA) [25].
4. Conclusion
Des informations similaires pourraient être extraites du site Web de l'AEM [1] concernant les autres vaccins autorisés Spikevax (Moderna), COVID-19 Vaccine Janssen (Johnson & Johnson) et Nuvaxovid.
Voici quelques raisons suffisantes pour douter de ces vaccins Covid-19 :
les incohérences/lacunes dans les résultats cliniques disponibles (auto-admis
par ces sociétés pharmaceutiques à travers leurs documents d'information sur
les produits), les résultats réels contraires aux prédiction de haute
efficacité du vaccin (invalidée maintenant par l'actuelle épidémie d'Omicron
même parmi les populations massivement vaccinées), les rapports d'effets indésirables
liés au vaccin (à la fois légers et graves) provenant du monde entier (sans
oublier que les vaccins Astra Zenca, Moderna et Johnson & Johnson ont été
arrêtés dans de nombreux pays européens [28] [29] [30] [31] [32]), la propagande agressive en faveur des vaccins
par les gouvernements et les média grand public, les mesures toujours
restrictives et punitives employées par les gouvernements des États européens contre
leur population non vaccinée, la diffamation incessante des citoyens non
vaccinés par l'État, l’introduction de la vaccination des enfants dans de
nombreux pays, etc. Et surtout, tout cela dans le contexte d'une maladie qui a
un taux de mortalité par infection dans le monde de seulement 1,4 % [33] ou un taux de létalité de seulement 1,26
% [34] pour l'Union
européenne.
Une lecture attentive de ces documents par des experts médicaux ou même par
des citoyens ordinaires nous laisse avec davantage de questions que de réponses
convaincantes. La science ne nous apprend certainement pas à simplement
"croire en la science" et à s'injecter désespérément quelque chose
dans notre corps parce que nous souhaitons tant aller au restaurant ou au musée
(une raison non-médicale, d'ailleurs). Au lieu de cela, ce qu'elle nous
enseigne, c'est d'être sceptique, prudent et raisonnable.
Pensez-vous toujours que le diktat de la vaccination par l'exécutif est
justifié ?
5. Références
[1] https://www.ema.europa.eu/en/human-regulatory/overview/public-health-threats/coronavirus-disease-covid-19/treatments-vaccines/covid-19-vaccines
[2]
https://www.ema.europa.eu/en/documents/product-information/comirnaty-epar-product-information_en.pdf
[3] https://www.ema.europa.eu/en/medicines/human/EPAR/comirnaty#overview-section
[4] https://www.cbsnews.com/news/covid-vaccine-delta-variant-infections-carry-same-virus-load-unvaccinated/
[5] file:///C:/Users/S0079351/Downloads/FinalfinalcombinedVE20210816.pdf
[6] https://www.abcactionnews.com/news/coronavirus/doctors-see-more-covid-19-breakthrough-cases-with-omicron-say-vaccines-still-help
[7] https://news.yahoo.com/most-reported-u-omicron-cases-182642515.html
[8] https://www.ouest-france.fr/sante/vaccin/covid-19-des-bonnes-raisons-d-esperer-que-le-vaccin-empeche-aussi-la-transmission-du-virus-7118185
[9] https://www.lemonde.fr/les-decodeurs/article/2021/07/29/peut-on-transmettre-le-covid-19-en-etant-vaccine_6089910_4355770.html
[10] https://www.leparisien.fr/societe/vaccination-faut-il-une-dose-de-rappel-meme-si-on-a-eu-le-covid-19-apres-deux-doses-12-01-2022-MCCSBPKY4RAHZFMKPFGB2MVQSY.php
[11] https://solidarites-sante.gouv.fr/IMG/pdf/avis_du_cosv_22_avril_2021_-_interchangeabilite_des_vaccins_arnm.pdf
[12] https://www.has-sante.fr/jcms/p_3264088/fr/avis-n-2021-0030/ac/seesp-du-29-avril-2021-du-college-de-la-haute-autorite-de-sante-relatif-a-la-possibilite-de-realiser-un-schema-vaccinal-avec-deux-vaccins-a-arnm-de-specialites-differentes-dans-des-situations-exceptionnelles
[13] https://www.rtl.fr/actu/debats-societe/coronavirus-pourquoi-passer-de-pfizer-a-moderna-pour-sa-dose-de-rappel-n-est-pas-un-probleme-7900104163
[14] https://www.huffingtonpost.fr/entry/troisieme-dose-pourquoi-linjection-dun-vaccin-different-sera-autorise_fr_612623a5e4b01d0862ebab13
[15]
https://www.gouvernement.fr/tout-savoir-sur-la-vaccination-contre-la-grippe-saisonniere
[16] https://assurance-maladie.ameli.fr/presse/2021-10-21-info-presse-grippe-2021
[17] https://www.service-public.fr/particuliers/actualites/A15259
[18]https://solidarites-sante.gouv.fr/soins-et-maladies/maladies/maladies-infectieuses/coronavirus/tout-savoir-sur-le-covid-19/article/personnes-a-risques-reponses-a-vos-questions
[19]https://www.bfmtv.com/sante/veran-annonce-que-le-vaccin-astra-zeneca-pourra-etre-administre-aux-65-75-ans-avec-comorbidites_AN-202103010428.html
[20]https://www.lefigaro.fr/politique/covid-19-olivier-veran-vaccine-sa-collegue-olivia-gregoire-enceinte-20210727
[21] https://madame.lefigaro.fr/bien-etre/vaccin-et-grossesse-toutes-les-reponses-aux-questions-que-se-posent-les-femmes-090821-197648
[22] https://lecrat.fr/spip.php?page=article&id_article=1123
[23] https://ansm.sante.fr/dossiers-thematiques/covid-19-vaccins-et-femmes-enceintes
[24] https://publications.aap.org/aapnews/news/16493
[25] https://www.ema.europa.eu/en/documents/covid-19-vaccine-safety-update/covid-19-vaccines-safety-update-20-january-2022_en.pdf
[26] https://www.ema.europa.eu/en/documents/product-information/vaxzevria-previously-covid-19-vaccine-astrazeneca-epar-product-information_en.pdf
[27] https://www.ema.europa.eu/en/medicines/human/EPAR/vaxzevria-previously-covid-19-vaccine-astrazeneca
[28] https://childrenshealthdefense.org/defender/deaths-johnson-johnson-astrazeneca-vaccines-strokes-young-adults/
[29] https://www.bbc.com/news/world-us-canada-56733715
[30] https://edition.cnn.com/2021/03/11/europe/astrazeneca-vaccine-denmark-suspension-intl/index.html
[31] https://www.reuters.com/world/europe/eus-breton-eu-did-not-renew-astrazeneca-covid-19-vaccine-order-after-june-2021-05-09/
[33] https://www.worldometers.info/coronavirus/coronavirus-death-rate/
[34] https://ourworldindata.org/mortality-risk-covid
Héllo Anu, on en reparle ce week end. Bises mama
ReplyDeleteEt bien non en effet. Il ne s’agit plus ici de prétendre à protéger les populations (et d’ailleurs qui peut décider ce qui est bon ou non pour sa propre santé à part l’individu concerné), les « recettes vaccinales « ne sont toujours pas libres de droit, et limitent l’accès aux soins des pays les plus pauvres. Quant à l’efficacité elle a été mise à rude épreuve avec les variants. Il est primordial de se questionner et de continuer à faire valoir ses droits et ses valeurs sans stigmatiser une partie de la population mais en ayant les informations suffisantes pour se forger une opinion et si l’on peut, les actes congruents à sa propre éthique.
ReplyDeleteMerci pour votre commentaire. Je suis entièrement d'accord avec vous. J'ajouterai que l'exigence du passe vaccinale, malgré le recul de l'épidémie est choquant...
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